En entrant dans la bande de Gaza, en juillet dernier, Jacob Granger a pensé au film de sciences-fiction « Mad Max » et à ses décors apocalyptiques. Il y est resté six semaines. Revenu en France, il décrit l’horreur des « flux ininterrompus » de blessés, le bruit permanent des armes et des cris, la chaleur étouffante, et la misère de la population.
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Gaza : il raconte l’indescriptible
jeudi 26 septembre 2024
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